Début 2022 au Canada, des milliers de routiers se sont mobilisés dans la ville d’Ottawa pour protester contre les mesures sanitaires et coercitives en vigueur dans le pays. Ce mouvement de contestation, baptisé « convoi de la liberté » s’est propagé dans l’Europe toute entière, et en France.
En Europe, ce mouvement a pris de l’ampleur via les réseaux sociaux.
Conforme à ses pratiques habituelles de censure, le site Facebook à fermé la page « Convoy France Officiel – Affilié Convoy Europe » qui comptait deja 200.000 membres.
Le mouvement s’appuie notamment sur l’application Telegram :
French Convoy 🇫🇷 :
https://t.me/convoyFrance
https://t.me/tousaparis
https://t.me/entraideconvoyfranceofficiel
Europe:
https://t.me/FreedomEuro
- « Ne tordons pas les mots et la réalité : c’est pas le « convoi de la liberté » ce qu’on voit là. C’est le convoi de la honte et de l’égoïsme. C’est pas des patriotes, ce sont des irresponsables », a lancé Clément Beaune, conseiller d’Emmanuel Macron au palais de l’Élysée sur les questions européenne.
Les voix alternatives, les pensées qui ne sont pas dans la doxa imposée sont stigmatisées par un véritable « ministère de la vérité ».
Les médias jouent un rôle majeur dans ce jeu de dupe.
Soulignons que le peuple proteste pour demander le retour de leurs libertés : est-il honteux de demander ses droits fondamentaux ?
Est-il égoïste de prendre des risques face à des forces de l’ordre déchaînées, de sacrifier son temps, son énergie, sa réputation, pour demander ce qui devrait revenir de droit à chacun ?
Pouvons-nous continuer à ignorer et insulter des millions de nos citoyens qui demandent juste leurs libertés ?
La liberté d’expression est restreinte par diverses formes de censures et d’autocensure. Le droit des peuples est bafoué par des stratégies de vaccination coercitives, des mesures liberticides, qui imposent à la société une exclusion sociale et une ségrégation jusqu’ici impensables.

Le Droit à manifester en France est désormais plus un danger qu’un droit.
Il s’agit actuellement d’une profonde crise sociale, et une réaction face au totalitarisme et la tyrannie mise en place par les États et relayé par les médias de masse.
Samedi 12 février : Les convois de la liberté à Paris
Les convois de la Liberté ont été accueillis avec « force » par l’État Français et le préfet Lallemand, avec 7000 hommes des forces de l’ordre déployés sur la capitale et pléthore de véhicules blindés.

On sent une certaine nervosité de la part de l’exécutif et des moyens réellement disproportionnés face au mouvement de revendication pacifique. Ce type de véhicules blindés n’avaient même pas été utilisés lors des émeutes de 1968. Nous n’avons pas non plus assisté à de tels déploiements de forces de l’ordre pour les gréves historiques de 1995 qui durèrent plusieurs mois et paralysèrent la France toute entière.
« Nous sommes en guerre » nous avait prévenu notre cher président, il n’avait pas précisé qu’il était en guerre contre le peuple Français.
Les manifestants, tous pacifiques, ont fait face à des violences policières injustifiables.
Des violences qui avaient commencées avec les Gilets Jaunes 2 ans auparavant, avec des dizaines de personnes gravement blessés, mutilées par les forces de l’ordre.
Samedi, on notera encore des violences gratuites faites à nos concitoyens, des verbalisations surprenantes, pour port de drapeaux Français. On notera même la destruction du drapeau national par des agents de police.
Rappelons que pour tout militaire ou toute personne embarquée de commettre un outrage au drapeau ou à l’armée est puni de cinq ans d’emprisonnement selon l’article L322-17 du code militaire.
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Article R645-15 du code pénal
Hors les cas prévus par l’article 433-5-1, est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la 5e classe le fait, lorsqu’il est commis dans des conditions de nature à troubler l’ordre public et dans l’intention d’outrager le drapeau tricolore :
1° De détruire celui-ci, le détériorer ou l’utiliser de manière dégradante, dans un lieu public ou ouvert au public ;
2° Pour l’auteur de tels faits, même commis dans un lieu privé, de diffuser ou faire diffuser l’enregistrement d’images relatives à leur commission.
La récidive des contraventions prévues au présent article est réprimée conformément aux articles 132-11 et 132-15.
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000022510542
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Article L322-17
Le fait pour tout militaire ou toute personne embarquée de commettre un outrage au drapeau ou à l’armée est puni de cinq ans d’emprisonnement.
Si le coupable est officier il encourt, en outre, la destitution ou la perte de son grade.
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006573958
Lundi 14 février à Bruxelles
A quelques jours du débarquement, l’heure était à l’esprit de la bienveillance, du rassemblement, de la coopération. Ils ont pris ensemble la route, dans le calme afin d’avancer groupés vers Bruxelles.
Prenez un peu de hauteur, et regardez, vu du ciel, tous ces convois, de tous les pays d’Europe, qui se rencontrent…
Ce que nous vivons là est historique.
Un seul mot : ENSEMBLE !
Des centaines de voitures particulières, camping-cars et camionnettes partis au lever du jour vendredi 11 février, de Lille, Strasbourg, Vimy (Pas-de-Calais) ou Châteaubourg (Ille-et-Vilaine) se sont arrêtés vendredi soir aux portes de Paris, une source policière affirmant qu’aucun convoi n’est entré dans la capitale.
Lundi 14 février, les convois convergeront tous vers Bruxelles.
Sur Bruxelles, il faut enregistrer votre véhicule au préalable pour chaque ville ( Gand Anvers Bruxelles ) norme pollution sinon procès envoyer à domicile, surveillé par caméra.
https://lez.brussels/mytax/fr/
« Le Convoi de la Liberté » contre les mesures sanitaires en Europe :
https://www.epochtimes.fr/le-convoi-de-la-liberte-contre-les-mesures-sanitaires%E2%80%89se-prepare-en-europe-1947425.html
Bilan
Le Convoi de la Liberté nous a permis de vivre un moment unique.
Cet événement sans précédent a permis à ses participants de vivre des moments riches en émotions par la liesse populaire et la solidarité qu’il a su générer.
Il est indispensable de vivre ensemble de tels moments afin qu’un esprit de groupe puisse naître de façon naturelle.
Tout résistant que nous sommes à titre individuel avons besoin de renforcer nos liens, de gagner en cohésion pour gagner en efficacité.